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Caterham, Lotus 7 & Classic Cars

Archive de la catégorie: ‘Histoire’

Demande réparation

Posté par Mister7 le 10 - décembre - 2007

… Levée de boucliers« Buckler »

 

De tous les modèles routiers que Lotus ait produit, aucun n’incarne mieux l’excellence de la performance par sa légèreté, si chère à C.Chapman, que la Seven. Cependant, contrairement à ce que beaucoup de gens semblent penser, la Seven n’était pas la première voiture de ce type. La Buckler Mk5 de 1947 était assurément la plus connue.

Buckler Mark V
Buckler Mark V

Loin de vouloir soulever la polémique autour du délicat et épineux dossier sur les répliques, il me semblait juste de rétablir une vérité autour du rêve « rapport poids/puissance », qui de tout temps résonne comme un fantasme dans l’esprit des mécanos avides de performances à moindre coût. Dereck Buckler fut lui, un des pionniers du Kit Car, créant des autos, des karts et des monoplaces, mais ne développa jamais de moteurs. C’est en partie parce que Chapman lança ses Lotus en championnat avec son prototype d’usine, prenant la victoire dans toutes les premières courses engageant des Seven mais également en partie parce qu’il est le seul à les avoir produite en série pendant les années 50, qu’il convient malgré tout de laisser le fameux « Light is right » à Colin, « le Colporteur » de cette merveilleuse philosophie. Cependant Il est curieux de constater à quel point Les Bucklers, par leur conception des châssis et des lignes, nous rappellent la Seven ou la Eleven. Si il convient de nommer « Cousines » toutes filiations officielles ou non, vis à vis des Lotus Seven, peut être pourrions nous attribuer « Grand-Tante » aux Bucklers .

Buckler MK6Buckler Mark VI Buckler BB100Buckler bb100 Buckler DD 1Buckler DD1

Pour compléter ses connaissances sur les Bucklers: Buckler Cars

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La 917: Celle qui pulvérisa tous les records…

Posté par Mister7 le 10 - décembre - 2007

… tous les records de glamour, de distances et d’aventures.

Lotus 28Le sport automobile serait-il l’incarnation des gladiateurs modernes ou celle des chevaliers et de leur monture ? Sans doute un peu des deux et la Porsche 917, à elle seule, réunit tous les ingrédients nécessaires à cette idée. Gardienne du mythe, héros, records et danger sont à lui associer. La 917 et les hommes qui la pilotèrent, évoquent ce temps où l’univers de la course se résumait à : «chaque jour implique une mort, chaque nuit une amourette»; ou le binôme pilote-machine poussait le risque et la désinvolture à leurs limites. Un véritable plaidoyer que cette machine, en faveur de la prise de risque et de la réalisation des rêves de son pilote. Réputée pour sa tenue en ligne droite pour le moins approximative, la 917 se montre très délicate à piloter, et surtout très instable à haute vitesse. Au cours de sa carrière, la 917 devra donc subir de nombreuses transformations destinées à améliorer sa tenue de route. Elle faisait peur, on la sentait ou on ne la sentait pas. Dès sa première participation en course aux 1000 km de Spa le 11 Mai 1969, deux 917 sont engagées pour Siffert/Redman(917-002) et Mitter/Schutz (917-003). Pour tenter de remédier au comportement délicat de la voiture, la queue arrière a été raccourcie. Bien qu’ayant réalisé la pole position, Siffert préfère prendre le départ au volant de la 908.Jo « Seppi » Siffert avait l’habitude de rouler sur la route avec sa Porsche 917 immatriculée FR 2062; et après sa mort tragique au circuit de Brands Hatch, la tête du cortège funèbre ne fut autre qu’une Porsche 917.

   

 

Aux 1000 Km du Nurburgring un mois plus tard,le 1er Juin 69, la Porsche 917 fait toujours peur et les pilotes ne se bousculent pas pour prendre son volant. Trois voitures sont présentes, mais une seule prendra le départ. Hahne et Quiester qui devaient initialement piloter la voiture, se sont vus interdire par BMW, leur employeur habituel, de monter à bord d’une voiture aussi dangereuse.

« Nurburgring 1969″ en video

Aux essais des 24 Heures du Mans, la même année elle affiche plus de 230 km/h de moyenne sur un tour et une vitesse de pointe de 340 km/h dans les Hunaudières. Le record de la piste était battu de quelques 5 secondes. Effrayée par les moyennes records enregistrées et au regard d’une voiture au comportement totalement imprévisible et dangereux, le CSI (Commission Sportive Internationale) et l’Aco demandent donc à Porsche de fixer les volets mobiles de ses bolides sous peine d’exclusion. Bien que Porsche joue son va-tout en menaçant tout simplement l’Aco d’un retrait total, l’écurie obtient cependant les deux meilleurs temps des qualifications en ailerons fixes, mais disputera la course en mobile après qu’un compromis ait été finalement trouvé entre eux. Lors de la course, malheureusement, le gentleman driver John Woolfe (Pilote privé) qui vient de faire l’acquisition d’une 917 (châssis 917-005) perd le contrôle de sa voiture dans la portion de Maison Blanche avant la fin du 1er tour et se tue. Au titre de son palmarès, retenons que la 917 devint la première Porsche à remporter les 24 heures du Mans en 1970, où elles se classèrent 1re et 2e. Et sa plus belle victoire, ce pourquoi on la craint et la respecte encore de nos jours, fut de battre le record de distance dans cette même épreuve en 1971, avec 5 335,313 km parcourus (soit 222,304 km/h de moyenne), record qu’elle detient encore aujourd’hui, détenu par Helmut Marko et Gijs Van Lennep à bord de la 917 Martini.

« Le Mans 1970″ en video

La Porsche 917 fut nommée « voiture de compétition du siècle » et reste pour beaucoup l’ultime voiture de course du début des années 70 supplantant la GT40. Autant de « hauts faits » l’ont placé au panthéon historique de la course automobile, elle sera à l’honneur du film « Le Mans » avec Steve McQueen, ou là encore quelques anecdotes alimentèrent sa légende.

Lotus 28 Steve McQueen était fou de sport mécanique et sa grande déception en compétition fut de ne pas pouvoir disputer les 24H du Mans au volant de la 917…Ses assureurs s’y opposant fermement, pour lui aussi. En ersatz de consolation, il fut l’iniateur du projet du film, et s’offrit ainsi la course mythique par procuration à bord d’une 917 qui arborait les couleurs bleu & orange de Gulf… Il loua le circuit du Mans durant 3 mois, avec 25 voitures de course, pilotes et mécaniciens, et conduira lui-même pour compléter les prises de vues de la course. Le film fut tourné dans des conditions difficiles, Steve McQueen étant victime d’un accident à grande vitesse mais sans gravité, et le pilote David Piper devant être amputé d’une jambe lors du crash de sa Posche 917. Ce film, par l’absence de scénario, s’apparente plutôt au reportage et reste aujourd’hui encore probablement le meilleur traitant du thème de la course automobile, principalement pour la qualité de ses prises de vues mais aussi et surtout pour le colportage romanesque du destin flamboyant et tragique de ces héros modernes.

Pour compléter ses connaissances sur la 917:

Vidéo indispensable : Documentaire sur la 917

Lien indispensable : www.porsche917.com.ar

Le livre indispensable… (mais épuisé):

Lotus 28

PORSCHE 917 – The Heroes, The Victories, The Myth

Porsche 917-Die Helden, die Siege, der Mythos

By Jörg-Thomas Födisch, Jost Neßhöver and Rainer Roßbach(Bi-lingual German/English)

Et aussi  
Lotus 28

PORSCHE 917, The Undercover Story

By Gordon Wingrove

Published by Peter Morgan Media 2006(English)

-ISBN: 0954999029

Lotus 28

Porsche 917 : Zuffenhausen’s Le Mans and Can-Am Champion

(Ludvigsen Library Series) By Karl Ludvigsen

ISBN-10: 1583881808

 

 

Et tant il est vrai que cette Porsche revêtit en son temps des allures du « French kiss with death », j’aimerais conseiller cet autre beau livre de photos et texte ou R.Daley a su capter la vie au bord des circuits de grand Prix, F1, NASCAR, et F-Kart-Indy. A une époque ou presque 50% des pilotes qui ont commencé la saison n’ont pas survécu. C’était l’âge d’or et glorieux de ce sport, mais il était également dangereux et « cruel ». Le livre inclut des sections couvrant les pilotes, les voitures, les usines, les essais, le jour de la course et, inévitablement, les accidents. Des pilotes tels que Phil Hill, Jim Clark, Jack Brabham, le Marquis de Portago, Luigi Musso, Peter Collins, Jean Behra, Enzo Ferrari, Jackie Stewart, Ricardo Rodriguez, Colin Chapman et d’autres. Un livre rare.

Lotus 28

The Cruel Sport : Grand Prix Racing 1959-1967

Author: Robert Daley(English)

ISBN: 0760321000

   

 

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£123,000 plus Premium and tax

Posté par fun1450 le 7 - décembre - 2007

Lotus 28Après conversion et ajout des taxes, ça nous fait environ 190 000 € ! C’est le résultat d’une vente effectuée le 3 décembre 2007 par Bonhams à Londres.

Tout ça pour une familiale 8-O

Développée sur la base d’une ordinaire voiture produite par Ford et à la demande de Ford, la Lotus Cortina a connu un succès extraodinaire à la fois sur circuit en Saloon Car et en Rallye. Jim Clark, Jackie Ickx, Graham Hill ont fait vibrer les foules à son volant.

L’histoire de la Cortina Lotus (ou Lotus Cortina, suivant que l’on se place du côté Ford ou Lotus) débute en 1961 lorsque Colin Chapman se met en quête de trouver un moteur moins cher que le célèbre Coventry Climax (moteur de pompe à l’origine). Il adopte le principe d’améliorer des moteurs Ford et c’est une version du Kent à 1585 cm3 qui va équiper la Lotus Elan. C’est donc à cette période que Ford se tourne vers Lotus pour proposer d’équiper 1000 unités d’une berline pour l’homologation en Saloon Car Groupe 2. Malgré les difficultés liées au lancement de la Lotus Elan, Chapman accepte et la Lotus Type 28 était née.

Ford se chargera de produire les chassis de Cortina 2 portes puis du marketing et de la vente, tandis que chez Lotus seront mis en place les éléments mécaniques ainsi que la cosmétique particulière : essentiellement couleur blanche, ligne verte, badge, pare-chocs avant. Côté mécanique, outre le moteur, on retrouve les modifications chères à Chapman : allègements grâce à l’aluminium, nouvelles suspensions, boîte, freins à disque à l’avant. Quant à l’intérieur, il devient « Sport ».

La présentation du modéle fut un succès de presse et le public pouvait y voir un nouveau concept entre les Mini Cooper S et les « lourdes » Big healey. Cependant les débuts ne furent pas sans soucis : trop de contraintes techniques pour des garages habitués à des mécaniques Ford plus rudimentaires, boîte de vitesse peu adaptée à la conduite hors circuit … Aussi plusieurs évolutions furent apportées jusqu’à son remplacement en 1966 par la Mk2.

Entre-temps, la Type 28 avait fait ses preuves en compétition.

A retenir aussi que, si toutes le Cortina-Lotus ont été produites blanches avec les quelques parements verts, le Team-Lotus a fréquemment couru avec des voitures rouges en rallye ou sur circuit, certainement en référence à un sponsor qui à l’époque n’avait pas l’autorisation de s’afficher. Quant aux belle rouges avec les bandes et le toit dorés, elles sont la marque du team Alan Mann Racing.

« JTW 498C », alors propriété de la Ford Motor Company, a couru sous les couleurs du Team Lotus en 1965 avec pour pilotes Jack Sears, John Whitmore et Jim Clark. Elle a ensuite été vendue à Lotus Cars Ltd puis à un employé de Lotus en 1967, avant de changer plusieurs fois de propriétaire. Elle a été restaurée en 2004.

Le 5 décembre dernier Coys proposait aussi à la vente une Mk1. « KPU 386C » fait partie en 1965 et 1966 des voitures « usine » rouges. Sans doute alléché par les sommes atteintes par « JTW 498C » 2 jours plus tôt, l’actuel propriétaire n’a pas accepté la meilleure enchère à 90 000 £. Le prix de réserve était supérieur.

   
         

Pour compléter ses connaissances sur les Lotus Cortina :

New CortinalandLotus Cortina RegisterThe Ford Cortina Website

 

   
         

Et pour le plaisir des yeux :
British Saloon Car Championship in Crystal Palace 1964
Oulton Park Gold Cup Saloons 1967

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917

Posté par fun1450 le 6 - décembre - 2007

Et dire que certaines automobiles de série sortent aujourd’hui avec des puissances similaires. Considérée tout au long de sa carrière comme un monstre inconduisible et dangereux, la 917 est à classer dans la catégorie qui rassemble aussi les Audi Quattro, 205 Turbo 16 : la course à la puissance les a perdues. La réglementation les a rangées au rayon des belles légendes. Chacune de leurs sorties fait maintenant courir les foules. Avoir 45 ans en 2007, c’est avoir découvert les 24 h du Mans au travers de la 917. Nostalgie encore! Oui peut-être, nostalgie du temps des pilotes gladiateurs en opposition aux pilotes, certes talentueux, mais entourés d’attentions sécuritaires. Le spectateur n’a certainement plus les mêmes « décharges d’adrénaline ». Les grands pilotes disparaissent des grilles parce qu’ils n’apportent plus assez de sponsors aux écuries ou parce qu’ils sont blasés, fortune faite. Tant mieux pour les mères et épouses (!)

En opposition avec tous ces principes de précaution, on se rend bien compte de l’intérêt macabre du spectateur pour les accidents, les souffrances, les tragédies. Une recherche avec les mots « fatal crash » sur Youtube et vous serez servi! La presse écrite spécialisée s’est longtemps posé la question : doit-on ou ne doit-on pas publier les images terribles des pilotes dans les carcasses de leurs bolides. Avec le net, plus de déonthologie, plus de pudeur. Tout y est. 20, 30 ans après elles sont là. Ceux qui gardaient leurs négatifs au fond d’une vieille boîte en fer, ceux qui se promettaient de ne jamais y toucher, ceux-là nous les sortent une à une.

Allez, hop, hop un petit retour en arrière. Le site Endurance-Info publie le press book version 1970 de la 917 . 12 cylindres, 4L5, 520 ch, 896 kg, 140 000 DM (« Deutsche Mark » pour les plus jeunes). Dans ses versions ultimes, avant d’être rangée au musée, elle aura atteint plus de 1000 ch!

Photos : Porsche AG

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Light is Right – 1914

Posté par fun1450 le 26 - novembre - 2007

Voilà un film de 1914, où le Kid est mis en scène au milieu de petites autos bien légères. « Kid Auto Races at Venice » est la première apparition de Charlie Chaplin avec son mémorable costume. Et tout y passe : la bêtise, le chien, la bagarre, le caméraman, le policier … Il semble que ces scènes aient été réalisées dans l’improvisation.

Un bijou !


La fiche du film sur imdb

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Les 50 ans de la Seven à Norwich en images

Posté par fun1450 le 25 - septembre - 2007

Qui n’a pas vu cet homme sur le Norfolk Showground ?

artiste photo

Pendant 2 jours il a saisi les petits instants magiques de meeting et le résultat est bien sûr une galerie de souvenirs pour tous.

Dr John welcomes you to
50 Years of the Lotus 7
Royal Norfolk Showground – September 2007

Plus proches de ce que j’ai vécu, voici aussi les albums de quelques Français présents.

L’album de Klozurh
L’album de Huggy
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L’album de Géo
Géo

et pour conclure, une citation de « Perceval » sur le FAR

C’était énorme.
Que dire ?
Déjà, rouler a gauche sur la terre natalle de la seven.
Etre reçu par Ansar Ali et visiter l’usine Caterham.
Poser sa tente et parquer sa cat au milieu d’un champs de plusieurs centaines de cat.
Faire une balade extraordinaire le samedi, jusqu’a la mer (merci encore Yves et Patrick).
Découvrir des seven qui ont marqué l’histoire, et des personnages qu’on aurait jamais imaginé rencontrer.
Participer au diner d’anniversaire, être salué spécialement par Monsieur Nearn.
Regarder le feu d’artifice juste derrière un champs de seven, en dégustant le gateau d’anniversaire.
Boire des Chapman’s best en regardant la chorégraophie de l’orchestre totalement a fond pour mettre l’ambiance.
Rentrer en France, le sentiment d’avoir particper a quelque chose d’unique, et la fiereté d’y avoir enmener sa cat.
Prendre un plaisir fou a conduire cette merveille de superseven, qui est faite pour qu’on l’enmène dans ce genre de roadtrip, attirant toujours autant la sympathie autour d’elle.

Mais surtout une super ambiance, que des gens hyper sympa heureux d’être la ensemble, et je suis hyper comptent d’avoir vécu ces moments extraordianaires avec ma douce et tendre moité.

Je vais avoir beaucoup de mal a redescendre de mon nuage …

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Blat in Norfolk

Posté par fun1450 le 20 - septembre - 2007

Ayant été pris un peu au dépourvu, nous étions trop tard pour inscrire notre belle aux blats préparés par les organisateurs de l’événement. Mais après tout la campagne anglaise peut très bien se préter à l’improvisation. Alors, un pilote, un copilote avec une carte et en avant vers le Nord. Courageux les Géo, familles Perceval et GMA4 de nous suivre ainsi à travers champs, sur des voies étroites mais si plaisantes.

Si ce n’était le climat, je me demande bien ce que les voisins anglais viennent chercher chez nous … Nous avons tous été charmés par cette campagne et surtout le bord de mer à Blakeney.

 

Blakeney vu du ciel

photo : http://www.norfolkskyview.flyer.co.uk

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50th Anniv. of the Lotus 7 1957 – 2007

Posté par admin le 19 - septembre - 2007

Je ne saurais dater mes premiers émois face à la Lotus 7. Il est certain qu’un très grand choc s’est produit ce dimanche matin de juin XXXX à Monthléry à l’occasion du Grand Prix de l’Age d’Or. Depuis ce jour, blablabla …. Pas la peine d’épiloguer, il m’en fallait une. Mais j’y reviendrai une autre fois.

L’Age d’Or, Le Mans Classic ont été de merveilleux événements, objets de rencontres, de partage et d’approfondissement des connaissances, mais avec toujours cette petite impression de n’être que spectateur. Un spectateur heureux, certes, mais pas un acteur.

Jusqu’à ces jours de septembre 2007 où le Norfolk Showground a reçu plus de 700 Lotus 7 et Caterham. Voilà des mois que ce week-end de célébration des 50 ans de la Lotus 7 était réservé dans mon agenda. Partir de Normandie, rejoindre Calais, traverser la Manche avec ces camarades enthousiastes, manger des haricots au petit déjeuner, échanger quelques mots avec Graham Nearn, pleurer (ou faire semblant) avec les Anglais sur la défaite de leur équipe face à l’Afrique du Sud, improviser un blat, toucher l’unique Mk 6 carénée et féliciter son propriétaire… et aussi associer des visages à des pseudos du net.

Lotus Mk 6 Race French Fans

Je vous assure que j’ai découvert une nouvelle façon de vivre ma passion.

Deux choses m’ont principalement marqué : la décontraction et la variété. Pas deux autos identiques mais pas de clans pour autant. Pas de castes. Chacun est fier de sa 7 et chacun interroge son voisin sur les petits détails de sa 7 : un rétro, une calandre, une BAR, les pneus, l’échappement …

à suivre ….

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